UN PEU de souvenirs de la seizième émission d’ANTENNES BRANCHES. Cette fois-ci le tournage et l’émission s’est produite UN PEU en dehors du centre de beauté culturelle. En effet pour le premier anniversaire de cette Télévision de guérison, le cinéma NOVA a donné une carte blanche aux animateurs de cette chaîne pas comme les autres. Ce fut pour ainsi dire, un passage inédit du petit vers le grand écran. Un exercice connu pour certaines séries Télévisuelles telles que les Simpson, Mc Gyver ou encore Mission impossible et dont le succès les avait conduit à adapter leur univers à celui du septième art… Plus particulièrement l’évènement de cette seizième édition répondait à une double occasion. Il s’agissait de présenter le directe pour les spectateurs venus assister au programme dans le cinéma Nova tout en diffusant l’émissions sur internet pour la TELESPECPASTRISTE et le TELESPECPASPEUR. Ainsi les deux speakerines Cayo et Matthieu Ha ont quitté sous les encouragements du public, la salle de cinéma pour descendre à l’étage inférieur - dans la cafétéria. On y retrouvait le plateau de tournage et sa régis. Vincent Patigny y enclenchait alors le démarrage de l’émission avec le retour du fabuleux jingle d’ANTENNES BRANCHES. Pendant ce temps, dans la salle de projection, les spectateurs reprenaient en chœur le jingle - comme si celui-ci devenait peu à peu un hymne social. Ensuite les deux speakerines descendaient par l’escalier pour rejoindre le bar. La lumière alors s’allumait. Tandis que le programme etait expliqué à la téléspecpastriste et au Téléspecpaspeur, deux mains apparaissaient au bord du bar (Moss). Elles étaient en train de dessiner dans un petit carnet à spirales, un sous-titrage pour les sourds. L’émission proposait un voyage sur la planète LANGUE et sur laquelle Cayo aura un rendez-vous néerlandophonique pour donner une interview avec l’artiste ZEA, un des membres du groupe hollandais : THE EX. Après que la bougie d’anniversaire ait été éteinte, la première mire faisait son apparition. On y voyait un oiseau - un martin pécheur aspiré par une langue. L’oiseau réussira à lui échapper tandis que la langue aura bu la tasse lors du passage inattendu d’un bateau à moteur. Ensuite sans transition, un interlude de Jonty Toosey présentant des animaux en papier découpé. Ils étaient tous pris de fou rire comme dans un langage communicatif et contagieux. Sans transition, un mini parcours dans les locaux du cinéma Nova en compagnie de la Marionnette et à l’issue duquel van Twolips entraient sur le plateau pour y interpréter une chinoiserie à la guitare et à l’accordéon. La Dutchess créait un chant chorus entre sa voix et sa guitare tandis que Matthieu Ha sortait des toilettes pour ensuite rejoindre à petits trots, son microphone. Le morceau faisait sept minutes intemporelles quand Cayo annonçait le seizième épisode de l’Arbrhorlogerie : « LE FANTOME DE L’EAU – de Là » . Le Maître du temps jouait alors sur sa chaise haute, sur les rives d’un cours d’eau dans un village de la région du PAS DE CALAIS - en France. Le soleil éclatant, les canards, un chien au lointain et Quentin Manfroy à la flûte traversière étaient aussi de la partie jusqu’à ce que retentissaient les neuf coups de cloche du générique de fin et comme il est coutume dans cette étonnante saga. Enfin nous retrouvions Cayo pour l’interview avec le chanteur guitariste ZEA. Il était venu au Nova pour donner un concert dans un dialecte de sa région : LA FRISE en hollande du Nord. A l’issue de l’interview il quittera le plateau TV pour remonter rejoindre la scène de la salle de cinéma durant le générique de fin de l’émission avec un enregistrement d’archive de 2021 tiré du concert de Nilza Costa à UN PEU.
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